Il a sonné au portillon de la maison, il y a 17 ans un beau soir de juin.

Un allemand à la maison pour nous qui ne parlions pas un mot de sa langue … Oui, mais un Servas parlant français, papa d’une fillette, un joueur de bombarde travaillant dans le milieu culturel. Il tombait bien, nous allions au spectacle de danse de fin d’année de notre fille de 8 ans.

Et depuis, grâce à lui, nous avons visité l’Autriche, assisté à son mariage à Vienne, redécouvert notre région pour la faire visiter à Irmi, son épouse, échangé sur l’état de la planète. Bref, notre amitié continue à grandir et prospérer. Il s’agit de Klaus, que peut-être beaucoup de personnes reconnaîtront dans cette petite histoire.

Françoise Lacanal